Les aides aux victimes d'actes de terrorisme
Contexte historique
Suite aux nombreux actes terroristes qui frappent régulièrement le territoire depuis les années 1980, l'article 26 de la loi du 23 janvier 1990 stipule que les victimes de ces actes bénéficient "des dispositions du code des pensions militaires d'invalidité et des victimes de guerre applicables aux victimes civiles de guerre".
Cela fait suite à l'attentat du restaurant le Grand Véfour à Paris le 23 décembre 1983, où Françoise et Maurice Rudetzki sont gravement blessés. Le couple fonde alors l'association SOS Attentats et milite pour la reconnaissance des droits des victimes.
Prise en charge des victimes
Le Bleuet soutient les victimes d'actes de terrorisme au même titre que les victimes de guerre : prise en charge des études, accompagnement sur des projets personnels et professionnels, etc.
Plus spécifiquement, le Bleuet participe au financement de plusieurs programmes de résilience destinés à des personnes traumatisées, impactées par un acte terroriste. Comme celui de l'AFVT ou bien de la Fondation Lenval.